Un film inspiré de la pandémie actuelle, qui imagine des effets dévastateurs.
Tourné à Taipei, l’ultra-violent The Sadness, en forme de roller-coaster , marque les débuts du réalisateur canadien Rob Jabbaz, qui vit à Taiwan. Après avoir réalisé plusieurs courts-métrages d’animation et vidéoclips, depuis 2013, il a eu l’opportunité d’écrire et de réaliser son premier long-métrage, pour lequel il a également dessiné des storyboards, fourni des effets visuels et développé des séquences d’animation complètes. Véritable interdisciplinaire, Rob se salit souvent les mains sur un plateau avec des effets spéciaux, des gags, des décors et des cascades. Après un an de lutte contre une pandémie avec des symptômes relativement bénins, une nation frustrée baisse enfin sa garde. C’est à ce moment que le virus mute spontanément, donnant lieu à un fléau qui altère l’esprit. Les rues explosent dans la violence et la dépravation, alors que les personnes infectées sont poussées à commettre les choses les plus cruelles et les plus horribles auxquelles elles peuvent penser. Le meurtre, la torture, le viol et la mutilation ne sont que le début. Un jeune couple est poussé aux limites de la raison alors qu’ils tentent de se réunir au milieu du chaos. L’âge de la civilité et de l’ordre n’est plus…