Grand succès au 16e Festival International de Paris du Film Fantastique et de Science-Fiction, où il remporta le Prix du Public, Alice, Sweet Alice (Communion sanglante, 1976) d’Alfred Sole fait toujours partie d’un projet de remake par Dante Tomaselli (Desecation, Horror, Satan’s Playground, Torture Chamber), cousin de ce dernier et qui en possède les droits. Michael Gingold est en train de coécrire le script de cette nouvelle version, annoncée à l’origine en 2023, où Kathryn Morris (Mindhunter) devait jouer Catherine, la mère d’Alice. L’original se focalisait sur Alice, une fille de 12 ans consumée par la jalousie de sa sœur cadette “parfaite” Karen. Lorsque Karen est tuée le jour de sa première communion, les soupçons tombent sur Alice. Leur mère, Catherine, est aux prises avec la perte d’une fille et la culpabilité potentielle d’une autre, et leur communauté est envahie par la peur. Alors que de plus en plus de personnes autour d’Alice sont sauvagement attaquées et tuées, le mystère s’approfondit : cette jeune fille est-elle responsable, ou quelqu’un d’autre se livre-t-il à une obsession tordue pour le meurtre ? Tomaselli et Gingold ont un autre projet en commun, un shoker intitulé Damnation, tandis que le premier prépare également The Doll, situé dans les années 1970 à Salem, dans le Massachusetts. Il s’agit d’un récit de maison hantée traitant d’une hantise violente dans un musée de cire familial, où, à l’intérieur de celui-ci, des personnages de cire et des mannequins représentent cette période de l’Histoire, cruelle et sadique. Une présence sinistre hante les lieux. Tout remonte à une vieille poupée victorienne fissurée qui appartenait à une petite fille qui s’est noyée dans un lac